Jour 19 – Tokyo
A trop se balader dans les méandres des rues de Shinjuku, je finis par me retrouver dans un quartier à la réputation sulfureuse, le quartier le plus dangereux de Tokyo : Kabuki Cho.
Entièrement détruit par les bombardements de la seconde guerre mondiale, le quartier fut reconstruit après guerre avec le projet d’y construire un théâtre de Kabuki, il fut donc rebaptisé Kabuki Cho(歌舞伎町).
Malheureusement le projet fut abandonné, et ce fut d’autres types de théâtres qui s’installèrent dans le quartier : boites de strip tease, cabaret, mais aussi night club et bars à hôtesses. Il y aurait même des soapland (des sortes de maisons de massage – maisons closes).
La pègre japonaise –les yakuza- mais aussi chinoise et même africaine y est fortement implantée. Il y aurait plus de 1000 yakuza dans le quartier, et 120 entreprises sous leur contrôle.
Mais finalement on ne voit rien de tout ça : Il y a des néons comme partout ailleurs dans Shinjuku, des touristes et des jeunes gens venus profiter des nombreux restaurants, cinémas, boites de nuit et karaokes du quartier. Certes l’atmosphère est un peu plus chaude : les néons font la part belle aux clubs à hôtesses et à hôtes, il y a quelques rabatteurs dans les rues… mais rien de méchant.
Regardez cette place entourée d’au moins 4 ou 5 cinémas, où quelques groupes de chanteurs des rues s’époumonent. On ne risque vraiment pas grand-chose, à Kabuki cho.
A trop se balader dans les méandres des rues de Shinjuku, je finis par me retrouver dans un quartier à la réputation sulfureuse, le quartier le plus dangereux de Tokyo : Kabuki Cho.
Entièrement détruit par les bombardements de la seconde guerre mondiale, le quartier fut reconstruit après guerre avec le projet d’y construire un théâtre de Kabuki, il fut donc rebaptisé Kabuki Cho(歌舞伎町).
Malheureusement le projet fut abandonné, et ce fut d’autres types de théâtres qui s’installèrent dans le quartier : boites de strip tease, cabaret, mais aussi night club et bars à hôtesses. Il y aurait même des soapland (des sortes de maisons de massage – maisons closes).
La pègre japonaise –les yakuza- mais aussi chinoise et même africaine y est fortement implantée. Il y aurait plus de 1000 yakuza dans le quartier, et 120 entreprises sous leur contrôle.
Mais finalement on ne voit rien de tout ça : Il y a des néons comme partout ailleurs dans Shinjuku, des touristes et des jeunes gens venus profiter des nombreux restaurants, cinémas, boites de nuit et karaokes du quartier. Certes l’atmosphère est un peu plus chaude : les néons font la part belle aux clubs à hôtesses et à hôtes, il y a quelques rabatteurs dans les rues… mais rien de méchant.
Regardez cette place entourée d’au moins 4 ou 5 cinémas, où quelques groupes de chanteurs des rues s’époumonent. On ne risque vraiment pas grand-chose, à Kabuki cho.
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