Les taxis, au Japon, ils sont comme partout ailleurs… sauf que c’est pas pareil !
Tout d’abord la voiture : pratique, elle se voit de loin, avec ses couleurs vives, et son phare à la forme caractéristique de la compagnie à laquelle le taxi appartient (un cœur, un trèfle, une fleur, etc…). De larges berlines confortables avec des rétroviseurs sur les cotés.
Hep Taxi ! Pas besoin d’ouvrir la portière : celle-ci s’ouvre toute seule sur un signe du conducteur…
Le chauffeur, cravaté et costumé comme il se doit, nous demande notre destination… c’est là le plus difficile : n’oublions pas qu’à Tokyo il n’y a pas de nom de rues : une adresse est déterminée par son arrondissement, son quartier, son pâté de maison… ou alors par sa position par rapport au combini ou au bureau de poste qui se trouve tout à coté… et tout ça en japonais s’il vous plait (vous pensez que tous les chauffeurs de taxi parlent anglais ? Pffft !)…
Donc voilà… moi je préfère les transports en commun…
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